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- Aux portes du grand désert saharien, l'Adrar était le jardin de Théodore Monot qui y séjourna longtemps.
- Sous un soliel de plomb, sans véritables ressources naturelles, sans plage de rêve, cette région n'attire pas les foules et garde une grande authenticité dès que l'on séloigne un peu des 2 ou 3 sites touristiques.
- Pour tenter de découvrir l'Adrar et ses peuples, il n'y a qu'un seul moyen : la marche à pied en compagnie d'un guide touareg et de quelques chameaux.
- Un région magnifique complètement gachée par le tourisme imbécile avide de climatiseurs, d'aventure en 4x4 et de faux-vieux souvenirs artisanaux.
- Conscients de la richesse de leur patrimoine culturel, quelques chefs de village essaient de redresser la barre et de promouvoir un tourisme plus respectueux, moins dévastateur, enrichissant pour les deux parties. Espérons qu'il ne soit pas déjà trop tard.
Fin octobre 2008, en compagnie de copains naturalistes, une visite de la partie centrale de l'Ethiopie, des lacs de la vallée du Rift au parc de l'Awash, des gorges de Débré Lébanos au massif du Balé.
Guidés par les Pygmées, nous partons observer les éléphants de fôrets, les gorilles des plaines et la faune incroyable des Aires Protégées de Dzanga-Sangha et Ndoki (sud-ouest de la RCA, novembre 2011)